Conditions générales pour la prestation de services
Les présentes dispositions font partie intégrante du contrat conclu entre Skillflex People BV (numéro d'entreprise 0669.836.567) ou Adéquat Belgium SA (numéro d'entreprise 0637738970) et toutes les autres entreprises qui font partie de Skillflex ou opèrent sous son nom commercial, et l’utilisateur d’intérimaires dont le nom est mentionné au recto du contrat. Ci-après dénommée l'agence de travail intérimaire.
1. Les présentes conditions générales sont établies conformément à la législation en vigueur, à savoir la loi du 24 juillet 1987 relative au travail intérimaire, au travail temporaire et à l'emploi des personnes handicapées. juillet 1987 relative au travail intérimaire, au travail temporaire et à la mise à disposition de travailleurs pour les utilisateurs, y compris les conventions collectives applicables de l'Union européenne. utilisateurs, y compris les conventions collectives applicables du Conseil national du travail et de la Commission paritaire du travail temporaire (PC 322)et de la sous-commission paritaire pour les entreprises agréées de travail ou de services de proximité (PC 322.01), ainsi que les dispositions contenues dans le Code de droit économique.
2. Les travailleurs intérimaires de l'entreprise de travail intérimaire sont mis à disposition dans les conditions convenues au moment de la demande. convenu et aux conditions générales ci-dessous, qui font partie intégrante du contrat entre l’utilisateur et l'entreprise de travail temporaire, contrat entre l’utilisateur d’intérimaires et l'entreprise de travail intérimaire et établies conformément à la loi du 24 juillet 1987. Toute dérogation à ces conditions générales doit faire l'objet d'un accord écrit.
3. Les présentes conditions générales - et notamment l'article 23 - s'appliquent également dès que l’utilisateur d’intérimaires confie une candidature à l'agence de travail intérimaire et que l'agence de travail intérimaire présente des candidats au l’utilisateur.
4. Conformément à la convention collective de travail 38c du 14 juillet 1999, l'entreprise de travail intérimaire ne peut traiter les candidats de manière discriminatoire traitement. Par conséquent, l’utilisateur ne peut formuler dans sa demande que des critères pertinents pour l'emploi.
5. L’utilisateur d’intérimaires s'engage à communiquer à l'agence de travail intérimaire toutes les informations nécessaires au début et pendant la durée du contrat et, en outre, toute modification, sans délai et de préférence par écrit.
Cela signifie que l’utilisateur d’intérimaires communique notamment à l'agence de travail intérimaire les informations suivantes :
- la raison du recours au travail intérimaire et la présence ou l'absence de représentation syndicale ;
- les conditions de rémunération du personnel permanent, y compris les primes et les divers avantages habituels dans l'entreprise du loueur, ainsi que les conditions d'octroi ;
- les activités, le poste de travail et la fiche de poste éventuelle, la qualification professionnelle requise, le résultat des évaluations des risques, la surveillance médicale et les équipements de protection individuelle ;
- les éventuelles situations de grève ou de lock-out ou d'autres formes de chômage temporaire ;
- tout accident du travail ;
- l'opération de dimona, pour laquelle toutes les informations doivent avoir été transmises avant le début du détachement du travailleur intérimaire la présence tardive ou l'absence des travailleurs intérimaires ;
- le non-renouvellement d'une mission.
L’utilisateur d’intérimaires est seul responsable des conséquences résultant de l'absence de communication, de la communication tardive, insuffisante ou erronée de ces informations.
erronée de ces informations. Les rectifications et/ou les frais qui en découlent font l'objet d'une facturation supplémentaire au l’utilisateur.
6. L’utilisateur d’intérimaires est responsable de l'application correcte des motifs et des délais du travail intérimaire. Dans le cadre de ces Dans le cadre de ces motifs, il assure, dans les cas prévus par la loi, les consentements et notifications nécessaires dans le cadre de la mise à disposition des travailleurs temporaires.
dans le cadre du détachement de travailleurs intérimaires. Lorsqu'il utilise le motif "afflux", l’utilisateur met à disposition un maximum de 3 travailleurs temporaires sous ce motif pour le même poste de travail vacant. Dans le cadre de contrats journaliers consécutifs, l’utilisateur garantit que cela est justifié par le besoin de flexibilité de sa propre entreprise. Les sanctions légales qui peuvent être imposées à l'entreprise de travail intérimaire en l'absence de justification sont répercutées au loueur dans les mêmes conditions de facturation que celles qui étaient en vigueur au moment de la mise à disposition.
7. L'entreprise de travail intérimaire n'est en aucun cas responsable des conséquences de l'absence et/ou du retard de ses travailleurs intérimaires.
8. L’utilisateur d’intérimaires ne peut recourir aux services de l'entreprise de travail intérimaire en cas de chômage temporaire, de grève ou de lock-out dans son entreprise. Le cas échéant, l’utilisateur d’intérimaires doit en informer immédiatement et par écrit l'entreprise de travail intérimaire. Le retrait forcé des travailleurs intérimaires dans ces cas ne donne pas lieu au paiement d'une indemnité par l'entreprise de travail intérimaire au profit du l’utilisateur.
9. Pendant la durée de la mise à disposition du travailleur intérimaire auprès du loueur, l’utilisateur veille, conformément à l'article 19 de la loi du 24 juillet 1987, à l'application des dispositions de la loi sur la réglementation et la protection du travail applicables au lieu de mise à disposition. Il s'ensuit que l’utilisateur doit traiter les travailleurs intérimaires sur un pied d'égalité avec son personnel permanent, y compris en ce qui concerne le temps de travail, la réduction du temps de travail, la rémunération, les pauses, les jours fériés, le travail du dimanche, le travail de nuit, le bien-être du travailleur intérimaire sur le lieu de travail, etc.
10. La responsabilité civile prévue à l'article 1384 alinéa 3 du Code civil incombe au loueur. Par conséquent, l’utilisateur est seul responsable de tous les dommages causés par le travailleur intérimaire à des tiers. Il est recommandé d'inclure une "clause de travail intérimaire" dans l'assurance responsabilité civile du loueur.
L'agence de travail intérimaire n'est pas non plus responsable des dommages causés par le travailleur intérimaire au loueur pendant et suite à conséquence de son détachement auprès du loueur. La responsabilité de l'agence de travail intérimaire n'est pas non plus engagée en cas de détérioration, perte, vol ou disparition de matériel, d'argent ou de marchandises confiés au travailleur intérimaire.
L'entreprise de travail intérimaire n'est pas non plus responsable des prêts ou avances, en nature ou en espèces, qui pourraient être consentis par le l’utilisateur ont été accordés au travailleur intérimaire. En outre, le recouvrement des frais résultant notamment entre autres, de l'utilisation du téléphone à des fins privées, de la prise de repas au restaurant d'entreprise, d'achats autorisés, etc. doivent être effectués sans l'intermédiaire de l'agence de travail intérimaire.
11. L'entreprise de travail intérimaire est liée par un engagement de moyens et choisit le travailleur intérimaire en bon père de famille, en fonction de ses qualifications et de ses compétences. prudent, sur la base des qualifications communiquées par l’utilisateur. S'il est fait appel à un sous-traitant pour la mise à disposition de travailleurs intérimaires, ces derniers sont soumis à un contrôle final par l'entreprise de travail intérimaire afin de garantir les normes qualitatives convenues avec l’utilisateur. Si l’utilisateur procède lui-même à la sélection des candidats travailleurs temporaires, la responsabilité de l'agence de travail temporaire ne peut jamais être invoquée. Bien que l'agence de travail intérimaire fasse preuve de diligence dans la sélection des travailleurs intérimaires, l’utilisateur d’intérimaires qui constate que le travailleur intérimaire ne possède pas la qualification professionnelle qu'il exige est tenu d'en informer immédiatement l'agence de travail intérimaire, au moins au cours du premier jour de travail, et doit mettre fin au travail de ce travailleur intérimaire. L’utilisateur s'engage à confirmer sa décision à l'agence de travail intérimaire par lettre recommandée.
12. Le travailleur intérimaire est lié à l'entreprise de travail intérimaire par un contrat de travail et il reste donc à tout moment un salarié de l'entreprise de travail intérimaire soumis à l'autorité et au contrôle du loueur. Bien que le travailleur intérimaire reste soumis aux règles régissant les relations entre l'entreprise de travail intérimaire en tant qu'employeur et le travailleur intérimaire en tant que salarié, le travailleur intérimaire doit, dans l'exécution du travail de la mission qui lui est confiée, se conformer exclusivement aux directives du donneur d'ordre auprès duquel il effectue cette mission.
13. Conformément à l'article 10 de la loi du 24 juillet 1987, le travailleur intérimaire a droit à la même rémunération brute, y compris les indexations et les augmentations conventionnelles, les primes, les chèques-repas et les autres éléments de salaire que s'il était engagé à titre définitif par l’utilisateur.
En vertu de l'article 5 des présentes conditions générales, l’utilisateur doit communiquer ces données salariales à l'entreprise de travail intérimaire. l'agence de travail intérimaire. L’utilisateur d’intérimaires est seul responsable des conséquences découlant de l'absence de communication de ces informations, ou de leur communication tardive, incomplète ou incorrecte. Les rectifications et/ou frais occasionnés de ce fait donneront lieu à une facturation supplémentaire au l’utilisateur.
14. Le travailleur intérimaire bénéficie du même niveau de protection que les autres salariés de l'entreprise en ce qui concerne en matière de sécurité et d'hygiène du travail. Le travailleur intérimaire ne peut effectuer que les travaux mentionnés sur la fiche de poste ou, si aucune fiche de poste n'est requise, comme mentionné dans les conditions commerciales particulières, plus précisément dans la description du poste de travail, la qualification professionnelle requise et le résultat de l'évaluation des risques. Conformément à l'arrêté royal du 19 février 1997, l’utilisateur doit, dans les cas prévus, remplir la fiche de poste et l'envoyer à l'entreprise de travail intérimaire avant le détachement du travailleur intérimaire. Lors de l'établissement de cette fiche de poste, l’utilisateur a pris l'avis de son service de prévention et de son médecin du travail. L’utilisateur d’intérimaires assume (conformément à l'article 5, 4° de l'arrêté royal du 19 février 1997) la responsabilité finale de la mise à disposition des vêtements de travail et des équipements de protection individuelle, ainsi que de leur nettoyage, de leur réparation et de leur maintien dans un état normal et prêt à l'emploi, même si un accord commercial dérogatoire sur leur mise à disposition a été conclu avec l'agence de travail intérimaire.
L’utilisateur ne peut donc imposer au travailleur intérimaire que la tâche pour laquelle il a été mis à disposition. Sauf convention contraire, le travailleur intérimaire n'effectue pas de tâches pour lesquelles il a été mis à disposition.
Sauf convention contraire, le travailleur intérimaire n'effectue pas de travaux régis par des règles de protection particulières, tels que les travaux insalubres, dangereux, souterrains et les travaux en hauteur. Sauf convention contraire
le travailleur intérimaire ne peut être affecté à des travaux à l'étranger. Conformément aux articles 2 et 4 de la convention collective de travail du 8 septembre 1993, l’utilisateur organise l'introduction et l'adaptation des nouveaux travailleurs intérimaires dans l'entreprise au moment où le travailleur intérimaire commence sa mission et tient compte de ces travailleurs intérimaires pour détermination des moyens à mettre en œuvre pour favoriser l'insertion dans l'entreprise.
15. En cas d'accident de travail d'un travailleur intérimaire, l’utilisateur doit, après avoir pris toutes les mesures urgentes prises et après avoir prodigué les premiers soins et le transfert éventuel chez un médecin ou dans un établissement de soins, en informer immédiatement l'Agence de travail intérimaire et fournir tous les renseignements nécessaires à l'établissement de la déclaration d'accident. En cas de retard ou d'omission, la responsabilité directe du l’utilisateur peut être engagée.
L'utilisateur fournit à l'agence de travail intérimaire les fiches de poste de travail nécessaires, complétées et signées, avant le début de l'emploi du travailleur intérimaire.
l'emploi du travailleur intérimaire. Si un travailleur intérimaire de l'entreprise de travail intérimaire est victime d'un accident du travail, l'utilisateur, après avoir pris toutes les mesures d'urgence, en informe immédiatement l'entreprise de travail intérimaire notifier et fournir les informations nécessaires à l'établissement de la déclaration d'accident à l'aide du formulaire prévu à cet effet. Conformément à l'article 94b, § 1 de la loi sur le bien-être du 04/08/1996, le conseiller en prévention de l'utilisateur doit enquêter sur tout accident grave survenu au travailleur intérimaire. Conformément au même article, § 2, le conseiller en prévention de l'utilisateur prend contact avec l'expert en prévention de l'entreprise de travail intérimaire, qui collabore à l'enquête et discute des mesures à prendre pour éviter à l'avenir des accidents similaires impliquant des travailleurs intérimaires. Le conseiller en prévention de l'utilisateur prépare le rapport circonstanciel. Les mesures respectives à prendre sur la base de ce rapport par l'utilisateur et l'entreprise de travail intérimaire sont jointes et signées par eux sur le rapport qui est finalement envoyé par l'utilisateur à l'Inspection fédérale dans les 10 jours suivant l'accident. L'utilisateur déclare connaître l'A.R. du 25 avril 2007 relatif à l'accueil et à l'accompagnement des travailleurs en matière de bien-être au travail. Concrètement, cela signifie que l'utilisateur est responsable de l'accueil et de l'accompagnement des nouveaux travailleurs temporaires. "L'agence d'intérim apportera toujours et en tout temps sa collaboration à toute enquête menée dans le cadre d'un accident de travail."
16. L’utilisateur d’intérimaires est seul responsable du retour de la fiche signée et (du suivi) du retour des relevés de prestations remplis et signés ou de l'enregistrement en ligne des prestations fournies.
le retour des relevés de prestations remplis et signés ou de l'enregistrement en ligne des services fournis par le(s) le(s) travailleur(s) intérimaire(s) détaché(s). A défaut, le client ne peut invoquer le défaut de signature au détriment de l'agence de travail intérimaire et de l'entreprise de travail intérimaire. et l'entreprise de travail intérimaire facturera au donneur d'ordre les heures effectivement prestées par le travailleur intérimaire, avec un minimum des heures de travail convenues contractuellement. En cas de poursuite du placement, sans interruption et à la suite du contrat précédent, pendant un ou plusieurs jours consécutifs, y compris le samedi et le dimanche, aux mêmes conditions de travail, le contrat précité est prolongé de ce(s) jour(s) de placement, à condition que l’utilisateur d’intérimaires en informe l'agence de travail intérimaire par télécopie avant 17 heures la veille de cette poursuite du placement.
17. En signant la déclaration de prestation, l’utilisateur d’intérimaires confirme l'exactitude des heures prestées et l'exécution du travail effectué par l'agence de travail intérimaire. l'exécution du travail effectué par le travailleur intérimaire. Cette signature a lieu immédiatement après la fin des heures prestées, qui sont décrites dans la déclaration de prestation correspondante, afin que l’utilisateur puisse garantir le bon déroulement du paiement du salaire par La Poste.
Le donneur d'ordre ne peut pas contester le paiement du salaire par l'agence de travail intérimaire. L’utilisateur d’intérimaires ne peut pas contester la validité de la signature de ses personnes désignées ou de ses agents.
En cas de traitement automatique des heures prestées, l’utilisateur d’intérimaires accepte toujours les données relatives aux heures prestées telles qu'elles sont transmises à l'agence de travail intérimaire par des moyens automatisés ou électroniques, sauf convention écrite contraire. Seul l’utilisateur d’intérimaires est responsable en cas d'erreurs dans la transmission automatisée.
18. La facturation s'effectue sur la base des heures prestées telles que mentionnées sur les fiches de prestation ou telles que communiquées par voie électronique par l’utilisateur, avec un minimum d'heures demandées par l’utilisateur, sauf si le nombre d'heures prestées est inférieur du seul fait du travailleur intérimaire et si l'obligation d'information prévue à l'article 5 des présentes conditions a été respectée. En l'absence de fiches de prestation remplies et signées par l’utilisateur, la facturation est effectuée sur la base des heures effectivement prestées par le travailleur intérimaire, avec un minimum d'heures demandées par l’utilisateur. Dans ce contexte, toutes les heures et jours gratuits accordés et rémunérés par l’utilisateur à son personnel permanent, tels que les jours fériés extra-légaux, les jours de vacances, les jours de pont, etc. auxquels le travailleur intérimaire a également droit, sont également considérés comme des heures prestées et facturés en tant que tels au loueur. Ce prix initial facturé est majoré du coefficient et/ou du taux convenu. Ce coefficient et/ou taux est augmenté unilatéralement par l'entreprise de travail intérimaire en cas d'augmentation des cotisations patronales directes ou indirectes ainsi que de tout autre facteur éventuel déterminant les coûts salariaux réels. Ce taux est également augmenté unilatéralement par l'entreprise de travail intérimaire en cas d'augmentation du salaire de base du travailleur intérimaire résultant des indexations salariales et des augmentations salariales conventionnelles applicables chez le donneur d'ordre.
La facturation se fait en incluant les autres composantes salariales prévues à l'article 13 des présentes conditions et les autres accords écrits sur les prix, y compris la TVA applicable. Pour les travaux spéciaux (tels que les heures supplémentaires, le travail en équipe, de nuit, le dimanche et les jours fériés, etc.), le travailleur intérimaire est rémunéré conformément à la loi et/ou à la convention collective de travail applicable chez l’utilisateur. Le supplément de salaire ainsi versé est facturé au loueur avec le même coefficient que celui appliqué au salaire de base du travailleur intérimaire ou que celui utilisé pour le calcul du taux. Après la dimona, un montant forfaitaire par heure de travail est facturé, sauf accord contraire. Ce coût de la dimona évoluera chaque année en fonction d'une indexation qui sera appliquée au début de chaque année civile.
19. Toute réclamation concernant les factures doit parvenir à l'agence de travail intérimaire dans les huit jours calendrier suivant la date de la facture par lettre recommandée motivée.
lettre recommandée motivée. Passé ce délai, la réclamation est irrecevable.
20. Les factures de l'agence de travail intérimaire sont payables à 15 jours date de facture, nettes et sans escompte, sauf accord écrit contraire.
accord écrit contraire. En cas de paiement autre que par espèces, virement, domiciliation ou chèque, les frais de recouvrement sont à charge du l’utilisateur. Les retards de paiement donnent droit à des intérêts de retard de 10 % sans mise en demeure. L'entreprise de travail intérimaire a également droit, de plein droit et sans mise en demeure préalable, à une indemnité forfaitaire de 10 % du montant de la facture, avec un minimum de 125,00 EUR et un maximum de 2.500,00 EUR. En outre, en cas de recouvrement, il a droit au remboursement de tous les frais de justice qu'il a encourus. Les lettres de change de l'entreprise de travail intérimaire n'entraînent aucune dérogation et ne créent aucun renouvellement de dette. Tout mode de paiement accordé par écrit devient caduc de plein droit dès que l'agence de travail intérimaire doit procéder au recouvrement des factures impayées aux frais du l’utilisateur par voie judiciaire. En cas de mise en demeure écrite, en cas de lettres de change protestées ou de chèques non encaissés, en cas de sommations du rsz ou d'autres signes de solvabilité douteuse du l’utilisateur, les modalités de paiement accordées par l'agence de travail intérimaire deviennent également caduques de plein droit. Dans ce cas, toutes les factures (même celles qui ne sont pas échues) deviennent également exigibles de plein droit.
Le travailleur intérimaire n'est pas autorisé à encaisser les factures. En cas de non-paiement de la (des) facture(s) à l'échéance, l'entreprise de travail intérimaire adresse une (des) mise(s) en demeure au client défaillant par tous moyens appropriés (lettre, e-mail, etc.). Ces rappels donnent lieu à la facturation de frais administratifs forfaitaires. En outre, l'agence d'emploi se réserve le droit d'appliquer l'article 1289 du Code civil relatif à la compensation. Cet article conserve son effet en cas d'application de la loi sur la continuité des entreprises.
21. En cas de non-respect par l’utilisateur d’intérimaires de ses obligations légales ou des conditions générales, ainsi qu'en cas de défaut de paiement, l'agence de travail intérimaire se réserve le droit d'appliquer l'article 1289 du Code civil relatif à la compensation.
de paiement, l'entreprise de travail intérimaire a le droit, sans être tenue au paiement de dommages-intérêts, de considérer la rémunération en cours, de considérer les contrats en cours comme des contrats de travail à durée indéterminée et de les annuler. rémunération en cours, de considérer les contrats en cours comme résiliés et de retirer immédiatement ses travailleurs intérimaires. Tous les dommages résultant de ce qui précède sont à la charge du l’utilisateur.
22. En cas de refus prématuré, les dispositions suivantes s'appliquent. Si, avant la fin d'une période de détachement minimale de quatre mois, le preneur entre dans une relation de travail avec le travailleur intérimaire pour le même emploi ou un autre emploi sans l'intervention de l'agence de travail intérimaire, le le travailleur intérimaire pour le même emploi ou un emploi différent, le preneur est tenu de verser à l'entreprise de travail intérimaire, à titre de dommages et intérêts, une somme égale au montant du préjudice subi par le travailleur intérimaire et par l'entreprise de travail intérimaire. pour les dommages subis, verser à l'entreprise de travail intérimaire un coût de fonctionnement égal à 20 % du salaire annuel brut du travailleur intérimaire concerné.
L'entreprise de travail intérimaire se réserve le droit de réclamer une indemnité plus élevée si elle prouve que le dommage qu'elle a subi dépasse l'indemnité susmentionnée. L’utilisateur est également redevable de cette indemnité si le travailleur intérimaire, après la fin du détachement, entre dans une relation de travail avec l’utilisateur dans la mesure où il y a eu entre le premier jour du détachement et le premier jour de la relation de travail avec le travailleur intérimaire, moins de quatre mois se sont écoulés. mois. Le client s'engage à informer préalablement et par écrit l'agence de travail intérimaire de son intention de conclure une relation de travail avec le travailleur intérimaire. La conclusion d'une relation de travail avec le travailleur intérimaire signifie :
- la conclusion par l’utilisateur d'un contrat de travail avec le travailleur intérimaire ;
- la mise à disposition du travailleur intérimaire par un tiers (y compris une autre agence de travail intérimaire) ;
- conclure un contrat de travail avec le travailleur intérimaire ou avec un tiers qui a engagé le travailleur intérimaire à cette fin. l'emploi ;
- la conclusion d'une relation de travail entre le travailleur intérimaire et un tiers, lorsque le donneur d'ordre et ce tiers appartiennent au même groupe, sont des sociétés mères ou des filiales d'un même groupe ou sont des sociétés mères ou des filiales d'un même groupe. groupe, sont des sociétés mères ou des filiales l'une de l'autre ou sont des sociétés liées ou associées, conformément au titre II, chapitre II du code des sociétés. On entend par travailleur intérimaire
- le travailleur intérimaire sélectionné par l'entreprise de travail intérimaire qui a été mis à disposition avec un contrat de travail intérimaire mis à la disposition du loueur ;
- le candidat travailleur intérimaire qui a été présenté par l'agence de travail intérimaire au loueur.
Le salaire annuel brut du travailleur intérimaire signifie :
- si le travailleur intérimaire a déjà travaillé : le dernier salaire horaire brut applicable x le nombre moyen d'heures de travail par semaine dans le secteur du loueur. nombre moyen d'heures de travail par semaine x 4,33 x 13,92 ;
- si le candidat intérimaire n'a pas encore travaillé : le salaire brut applicable dans l’utilisateur pour la fonction en question (avec au minimum les barèmes de la commission paritaire du loueur) x le nombre moyen d'heures de travail par semaine applicable dans le secteur du loueur x 4,33 x 13,92.
23 En cas de résiliation unilatérale du contrat, sans résiliation anticipée, les dispositions suivantes s'appliquent. Conformément aux articles 1226 et suivants du Code civil, l’utilisateur d’intérimaires qui résilie unilatéralement et prématurément le contrat doit payer à l'entreprise de travail intérimaire une indemnité forfaitaire égale à la somme des factures que l'entreprise de travail intérimaire aurait établies si le contrat avait été exécuté intégralement, avec un minimum de 125 euros par jour calendrier. Il en va de même en cas de nullité du contrat entre le client et l'entreprise de travail intérimaire en raison du non-respect par le client des obligations légales qui lui incombent ou en raison d'informations erronées fournies par le client lors de la conclusion du contrat en question. L'agence de travail intérimaire se réserve toutefois le droit de réclamer une indemnité plus élevée, à condition qu'elle puisse prouver l'étendue du dommage.
24. Les présentes conditions générales ne peuvent contenir aucune rature et prévalent sur toutes les autres. Une dérogation aux présentes conditions générales n'est possible que si elle est convenue par écrit.
25. En cas de litige et/ou de non-paiement, les tribunaux de l'arrondissement du siège social de l'agence de travail intérimaire sont compétents.